MALADIES

ET

EMOTIONS

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Pour commencer

Découvrez les liens profonds entre vos émotions et certaines maladies, un langage subtil à travers lequel votre corps cherche à communiquer avec ses "maux".

Les maladies génétiques ne seront pas abordées ici, car elles répondent à des mécanismes différents.

La "mal-à-dit" est souvent le dernier recours de votre corps pour attirer l'attention sur votre équilibre physique, mental et émotionnel.

Les pathologies peuvent surgir brutalement après un évènement marquant ou se révéler bien plus tard, enfouies sous des comportements et des schémas de vie qui se sont installés au fil du temps.

Nous vivons à une époque où tout s'accélère, où l'authenticité des émotions est souvent mise de côté, noyée dans le rythme effréné de la vie quotidienne.

Pourtant, prendre conscience de ce que l'on ressent est une étape essentielle pour comprendre et rétablir l'équilibre intérieur.

Lorsque l'on me demande combien de temps il faut pour ressentir les bienfaits des séances, je rappelle que chaque personne est unique.

Le chemin de la guérison dépend de votre histoire, de vos blocages et de votre engagement à écouter ce que votre corps vous murmure.

Se lancer dans cette démarche, c'est accepter de se donner du temps. Tout comme une blessure physique ne guérit pas instantanément, les déséquilibres profonds nécessitent une attention durable.

La maladie, bien qu'elle soit une épreuve, peut devenir une opportunité de transformation, une invitation à mieux se connaître et à se reconnecter à soi.

Bonne lecture . . .

colse-up photo of brown wooden doll
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ZOOM SUR DIVERSES PATHOLOGIES

Ces informations reflètent le fruit de mes recherches et de ma compréhension personnelle.

Elles ne remplacent en aucun cas l'avis d'un professionnel de santé.

Les émotions vécues par une personne souffrante, ainsi que leur intensité, sont propres à chacun.

La peau sert de barrière entre le monde intérieur et extérieur, jouant un rôle essentiel de protection. La tête, quant à elle, représente l’individualité et occupe une place centrale dans les interactions sociales.

Durant l’adolescence, la recherche d’identité est souvent accompagnée de sentiments de malaise face à l’image de soi, à la réalité personnelle, aux désirs et à la sexualité.

L’acné peut être perçue comme le reflet d’un conflit intérieur entre la véritable nature de l’individu et ses peurs vis-à-vis de la société. Des émotions telles que le rejet, la honte, l’insécurité ou la critique peuvent s'intensifier et se manifester à travers ces lésions cutanées, symbolisant le rejet personnel, comme des pensées du type "je suis laid" ou "les boutons sont dégoûtants".

De plus, une alimentation riche en graisses peut exacerber l’acné en perturbant le foie, un organe étroitement lié à la gestion de la colère, et tentant de compenser un vide intérieur.

La localisation de l’acné sur le visage peut également offrir des indices sur le type de conflit émotionnel ou psychologique que la personne éprouve.

L'addiction témoigne souvent d'un profond vide intérieur et peut se manifester sous diverses formes : alcool, tabac, alimentation, drogue, sport, travail, entre autres.

Les personnes souffrant de dépendance cherchent à compenser un sentiment de désespoir et de tristesse, fréquemment causé par une carence affective durant l'enfance ou un manque d'estime de soi.

Le sentiment de révolte est souvent très présent, car elles perçoivent leur vie comme dénuée de sens et insatisfaisante par rapport à leurs désirs profonds.

Ainsi, l'addiction crée un cercle psychologique vicieux, où la personne devient dépendante d'un comportement ou d'une substance, qu'elle utilise comme substitut pour survivre temporairement dans un environnement perçu comme oppressant.

La nature de l'addiction peut offrir des indices précieux sur le mal-être sous-jacent, révélant souvent des besoins émotionnels insatisfaits.

Les articulations jouent un rôle essentiel en permettant le mouvement et la fluidité, surtout lorsqu'elles sont en bonne santé.

L’arthrose est souvent une dégénérescence des cartilages, généralement généralisée. Les personnes qui en souffrent présentent souvent une rigidité émotionnelle, ressentie comme un état de "froid" intérieur.

Un sentiment d’injustice est fréquemment associé à cette condition, particulièrement en relation avec l’autorité. Ces individus éprouvent une résistance à "plier", tout en se sentant pourtant contraintes de le faire.

Ils peuvent également être profondément attachés à des événements ou des personnes du passé, ce qui génère une peine persistante.

Souvent, ces personnes ont la conviction qu'elles doivent se consacrer aux autres avant elles-mêmes, se coupant ainsi de leurs émotions et de leur propre plaisir.

L’asthme est souvent lié à un sentiment d’étouffement, à la difficulté d’expirer et à une révolte intérieure non exprimée.

Les personnes atteintes d’asthme se sentent généralement dépendantes et cherchent à fuir les responsabilités. Elles se déconnectent de leurs émotions, croyant devoir répondre aux besoins des autres, sans laisser de place à leur propre libre arbitre.

La respiration symbolise l’individualité et l’indépendance. L’apparition d’une crise d’asthme peut être perçue comme un cri de désespoir, de haine ou d’incompréhension intérieure.

Il n’est pas rare de rencontrer des individus qui, dans leur passé, ont ressenti une forme d’asphyxie émotionnelle, comme si l'amour ou le comportement de leurs parents envahissait leur espace vital.

À l’opposé, certaines personnes vivent constamment sous l’autorité d’un individu qui leur refuse toute liberté d’expression, leur "clouant le bec" et étouffant ainsi leur capacité à s’affirmer.

Une atmosphère oppressante, ne laissant aucune place à la liberté d’expression, engendre cette incapacité à s’affirmer et peut provoquer des crises d’asthme, comme une réponse physique à un stress émotionnel intense.

Le cancer, bien qu'il soit de plus en plus répandu, ne sera pas détaillé dans son processus de développement.

Il est généralement associé à des émotions profondément refoulées et à un ressentiment accumulé au fil des années, émotions qui n’ont jamais été exprimées.

Les principaux facteurs émotionnels en jeu sont la culpabilité, la rancune, la haine et le désespoir. Ces émotions peuvent être liées à des événements marquants tels que des conflits familiaux, la perte d’un être cher, un divorce ou une perte d’emploi.

Avant l'apparition de la maladie, les personnes concernées ont souvent une très faible estime d'elles-mêmes et ont tendance à mettre de côté leurs désirs et besoins personnels pour satisfaire ceux des autres. Elles sont déconnectées de leur corps et de leurs émotions, se sentant perdues et sans véritable identité.

Il est intéressant de noter que les femmes du signe Capricorne ont tendance à exprimer très peu leurs émotions, bien que leur vie intérieure soit souvent tumultueuse et pleine de conflits non résolus.

Le type de cancer qui se développe chez un individu peut fournir des indices sur le conflit émotionnel qu’il traverse.

Les céphalées, également appelées migraines, sont souvent accompagnées de nausées.

Elles sont liées à la capacité de voir et de digérer à la fois des événements extérieurs et des émotions internes.

Les migraines apparaissent fréquemment après une contrariété, lorsque l’on se confronte à un objectif jugé inatteignable ou trop stressant. Elles symbolisent un conflit interne entre ce que l’on perçoit et ce que l’on est capable d’intégrer émotionnellement et intellectuellement.

Ces maux de tête peuvent résulter de sentiments refoulés, d'un manque d'amour perçu, ou encore de frustrations sexuelles réprimées depuis l’enfance.

Une tension intérieure persistante, souvent aiguë, crée un conflit entre les pensées et l’intellect, ainsi que le désir et le besoin, exacerbant ainsi l’intensité de la douleur.

Le cholestérol est directement lié au foie et au sang, ce dernier étant souvent perçu comme le symbole de la joie de vivre. Une élévation du taux de cholestérol peut survenir après des événements marquants qui affectent cette joie, tels qu'une retraite, un décès ou une séparation.

L'expression "se faire du mauvais sang" illustre parfaitement cette pathologie.

Le manque de gaieté et de joie de vivre touche le cœur, organe symbolique de l’amour, et reflète une difficulté à se sentir pleinement intégré à la vie.

Certaines personnes, par peur d'être perçues comme égocentriques, adoptent des rôles au sein de leur entourage ou de leur travail dans le but de faire plaisir aux autres. Elles deviennent ainsi excessivement dévouées, sacrifiant parfois leurs propres besoins et désirs pour répondre à ceux des autres.

La constipation résulte de l’accumulation de déchets dans l’intestin et est souvent liée à l’enfermement d’émotions refoulées telles que la colère, la jalousie et des pensées négatives.

Les personnes concernées cherchent à exercer un contrôle absolu sur les événements, ce qui masque une profonde insécurité intérieure. Elles se sentent prisonnières de leur passé, qu’elles jugent souvent comme un échec ou un fardeau.

L'approbation des autres est primordiale pour elles dans tout ce qu'elles entreprennent, alimentée par la peur du jugement. Elles recherchent également une stabilité quotidienne et s’attachent fermement à leurs croyances et à leurs biens matériels, trouvant dans cette accumulation un sentiment illusoire de contrôle et de sécurité.

Cette quête de contrôle s’accompagne souvent d’une grande inquiétude quant à l’expression de leur véritable personnalité, par crainte d’être rejetées.

La dépression se distingue de la déprime par sa durée, qui peut s'étendre sur des mois, voire des années, contrairement à la déprime, qui est généralement passagère, comme dans le cas de la déprime saisonnière.

La dépression nerveuse se manifeste par un sentiment de dévalorisation, de culpabilité et une tristesse profonde.

Les personnes souffrant de dépression ont souvent une très faible estime d'elles-mêmes et se perçoivent comme un fardeau pour leur entourage.

Elle prend souvent racine dans une situation vécue dans l’espace vital, générant stress et pression, que ce soit dans le cadre familial, professionnel ou financier.

Les individus dépressifs deviennent hypersensibles, vivant chaque situation de manière émotionnelle, au point que le corps exprime le besoin urgent de "dé-pression", pour libérer toute cette tension accumulée.

Nous excluons ici le diabète juvénile et infantile.

Le diabète est étroitement lié au sucre, symbole de douceur, d’amour et d’affection.

Une élévation du taux de diabète est souvent le signe d’un manque d'amour et d'une tristesse profonde.

Lorsque la personne est diagnostiquée diabétique, elle se trouve contrainte d'éviter les sucreries, ce qui devient une métaphore inconsciente d'une privation d'affection et de tendresse.

Ce manque d'amour s’accompagne souvent d’une accumulation de tristesse refoulée, où les émotions et les besoins affectifs restent non exprimés.

Dans ce contexte, la personne cherche parfois à compenser ce vide intérieur en se réfugiant dans la nourriture, ce qui peut entraîner un surpoids et contribuer à l'apparition du diabète.

L'endométriose, qui touche de nombreuses femmes, est souvent en lien avec la relation avec la mère, passée ou présente, ainsi qu'avec l'héritage physique et émotionnel transmis.

Un conflit peut exister entre cet héritage et la place que la personne cherche à occuper dans ce monde.

À l'âge adulte, des interrogations sur les fondements familiaux peuvent émerger, telles que : "Mes parents s'aimaient-ils vraiment ?".

L'endométriose peut également être liée à un refus inconscient de la maternité, alimentant des doutes sur la capacité à devenir mère, l'avenir du couple, la fidélité du futur partenaire, ainsi que la stabilité financière et matérielle du foyer.

L'énurésie, communément appelée "pipi au lit", est souvent associée à des peurs et à des émotions refoulées.

Pour l’enfant, il s’agit d’une manière d’exprimer des craintes et des angoisses accumulées tout au long de la journée, que ce soit en lien avec l'autorité parentale ou scolaire.

Ces enfants ont souvent du mal à exprimer leurs émotions devant leurs parents ou leurs enseignants, par crainte d'être punis, de déplaire, ou de perdre l'amour. Ils ressentent un profond mal-être, qu’ils n’arrivent à libérer que durant la nuit.

Un conflit intérieur peut également exister entre l’éducation reçue et le besoin naturel d'expression de l’enfant, qui vit une insécurité émotionnelle.

Il est important de souligner que contraindre un enfant à dormir dans l'obscurité peut renforcer cette insécurité et exacerber le phénomène de l’énurésie.

La goutte, qui résulte de l'accumulation d'acide urique dans diverses parties du corps, symbolise la rétention d'émotions, qui, normalement, seraient libérées par les urines.

La crise de goutte se déclenche souvent à la suite d’un conflit intérieur entre le désir de plaisir et le sens du devoir. La personne, craignant d'être jugée ou critiquée, refoule ses émotions et ne les exprime pas.

Ainsi, les frustrations et les déceptions s'accumulent dans le corps, provoquant une sorte de débordement émotionnel.

Les personnes concernées peuvent se retrouver enfermées dans le passé, éprouvant des difficultés à envisager l'avenir.

Ce phénomène peut survenir aussi bien chez des individus mentalement rigides que chez des personnes excessivement ambitieuses.

Lorsque les choses ne se déroulent pas comme prévu, ce "détournement du contrôle" provoque ce qu'on pourrait appeler « la goutte d'eau qui fait déborder le vase ».

La prostatite est une inflammation de la prostate, glande liée au sentiment de puissance et à la fonction sexuelle chez l'homme.

Elle est souvent associée aux peurs masculines concernant le pouvoir et la virilité. En vieillissant, l'homme se trouve confronté à l’évolution de sa sexualité, à sa perception de son rôle de père, ainsi qu'aux changements dans sa propre virilité. Cette remise en question engendre une pression constante sur ses performances, quel que soit le domaine.

Les émotions liées à ces changements lui font peur, il tend à les réprimer et cherche à se raccrocher à des valeurs matérielles et illusoires pour maintenir une illusion de contrôle.

En ce qui concerne la parentalité, il désire conserver son rôle de protecteur, surtout vis-à-vis de ses enfants qu'il perçoit encore comme vulnérables. Il éprouve une peur irrationnelle vis-à-vis de leur sécurité, particulièrement dans les domaines liés à la sexualité et aux dangers qu’il imagine pouvoir les toucher.

Le psoriasis se manifeste par un épaississement de la peau, qui symbolise l'expression « être à fleur de peau ».

Il est souvent lié à une perte significative, qu’il s’agisse d’un décès, d’une séparation ou de la distance émotionnelle avec une personne chère.

Les personnes touchées par le psoriasis sont généralement hypersensibles et ont tendance à contrôler leurs émotions. Malgré leur apparente maîtrise, elles éprouvent un besoin profond d'affection, tant physique qu’émotionnelle.

Cependant, une dualité s’installe entre ce besoin d’amour et la peur du contact physique, souvent liée à un sentiment de ne plus être digne d’être aimées après la perte vécue.

La peau, en tant que plus grand organe du corps, devient une véritable barrière protectrice, repoussant par son apparence tout contact extérieur, afin de se défendre de l’influence émotionnelle du monde environnant.

La sciatique symbolise un "arrêt sur image", un blocage intérieur lié à une direction à prendre mais que l'on n’a pas envie de suivre.

La douleur ressentie au niveau du nerf sciatique, selon le côté affecté (droit ou gauche), révèle un conflit interne spécifique qui cherche à s'exprimer.

Les personnes touchées par cette douleur sont souvent celles qui portent de lourdes responsabilités ou qui éprouvent un sentiment de manque de soutien dans leur vie.

Cette douleur est fréquemment associée à une peur profonde de manquer de ressources matérielles ou financières.

Une dualité intérieure émerge : d’un côté, le désir de conserver des croyances anciennes, de l’autre, la tentation de s’ouvrir au changement. Cela génère une insécurité permanente, accompagnée d’une remise en question constante et d’une colère latente qui peine à se libérer.

La tendinite touche les tendons, ces structures reliant le muscle à l'os, et représente la capacité à s'adapter aux diverses situations de la vie. Ils servent de lien entre l'énergie mentale (tissulaire, sanguine…) et l'énergie fondamentale (os).

Lorsque les tendons se rigidifient, cela se reflète souvent par une raideur mentale face à certaines situations, discussions ou croyances. Un désaccord intérieur se crée entre "ce que je veux" et "ce que je dois faire".

En revanche, lorsque les tendons sont souples, la capacité d'adaptation devient "élastique", permettant une plus grande flexibilité et une ouverture à de multiples possibilités.

La verrue, souvent surnommée "perle de tristesse", est liée à un vide affectif. Elle symbolise un sentiment de culpabilité et de tristesse persistants.

Les personnes concernées éprouvent souvent de la rancœur et un jugement sévère envers elles-mêmes, ce qui conduit à une rumination mentale. Elles agissent rapidement, en proie à une peur de la solitude et de la mort, et cherchent à tout prix à obtenir de la reconnaissance.

L'emplacement de la verrue peut fournir des indices sur le conflit intérieur qu'elles traversent. Par exemple, un enfant ayant une verrue sur le dos de la main pourrait suggérer qu’il y a un jugement ou une pression concernant son écriture, un aspect de son expression personnelle.

Le zona, qui se manifeste sur la peau en bandes, entraîne une douleur vive, semblable à une brûlure, accompagnée de démangeaisons. Il touche le trajet des nerfs, qui sont nos canaux de communication internes, ce qui fait de son emplacement un indicateur clé de l’état émotionnel de la personne.

Cette pathologie est souvent liée à une tension intérieure, où se mêlent colère et peur. La personne atteinte a tendance à se refermer sur elle-même, coupant la communication avec l'extérieur afin de se protéger, de peur de revivre de nouvelles agressions ou blessures émotionnelles.